Pendant le confinement, les Français ont logiquement freiné certaines dépenses pour se constituer une épargne de « précaution ». Au total, ils ont accumulé 55 milliards d’euros entre mars et avril 2020. Selon une étude récente, la majorité des épargnants ne savent pas vraiment quoi faire de leurs économies… Et si vous choisissiez de penser à votre retraite, maintenant ?

Baisse des dépenses, nouvelle collecte record en mai sur le Livret A… La crise liée à la pandémie de coronavirus a fait gonfler l’épargne des Français. Privés de bars, restaurants, théâtres, cinémas et de la plupart des commerces pendant le confinement, les ménages ont épargné 55 milliards d’euros en huit semaines, selon des données de la Banque de France. Un montant qui pourrait même dépasser les 100 milliards d’ici la fin de l’année !

Que faire de cette manne accumulée majoritairement sur les comptes courants bancaires et les livrets réglementés, ou sur des supports financiers sécurisés mais avec peu d’espérance de performance ? Selon une récente étude, 76 % des épargnants[1] ne savent pas vraiment quoi faire de leurs économies. Et si vous choisissiez de penser à votre retraite maintenant ?

Faire les bons choix pour dynamiser votre épargne

Dans un contexte plus apaisé sur les marchés financiers, il peut être intéressant de saisir dès aujourd’hui certaines opportunités afin de dynamiser votre épargne sur le long terme, tout en participant à la reprise économique.

Jeunes actifs, travailleurs en pleine ascension professionnelle, salariés proches de la retraite… Il n’y a pas d’âge pour préparer vos vieux jours. Sachez d’ailleurs que souscrire un plan d’épargne retraite (PER) vous permet de bénéficier d’un complément de revenu dès votre départ en retraite.

Vous aurez ainsi la possibilité de disposer librement de l’épargne constituée sous forme de capital[2] ou de rente qui vous sera versée à vie, quelle que soit votre longévité.

Une sortie en rente pour une retraite zen

La rente viagère est souvent mal-aimée car elle conduit à abandonner définitivement un capital en échange d’un revenu versé à vie. Pourtant, la rente est porteuse de sécurité et offre une garantie de tranquillité d’esprit pour votre propre retraite, mais aussi pour vos proches qui peuvent, sur option, disposer de cette rente si vous veniez à décéder le premier. Faute de choisir une sortie en rente, vous devrez réaliser des retraits périodiques sur vos placements à hauteur de vos besoins en revenus complémentaires, au risque d’épuiser votre capital trop vite.

Choisir une sortie en rente est également un pari sur la vie. En effet, cette forme de sortie peut s’avérer financièrement très avantageuse si votre espérance de vie est supérieure à la moyenne ! Cette option de sortie d’un placement retraite ou de tout contrat d’assurance vie mérite donc d’être étudiée avec votre conseiller Swiss Life, qui vous aidera à faire les bons choix.

Quel sera le montant de votre rente ?

Le montant des versements réguliers que votre assureur s’engage à vous verser jusqu’à la fin de votre vie est calculé principalement en fonction du montant de votre capital et de la durée de votre espérance de vie statistique, déterminée selon votre âge au moment où vous sollicitez la rente. En toute logique, moins longue est votre espérance de vie théorique, plus élevé sera le montant de votre rente.

À ces deux paramètres s’en ajoute un troisième : le taux technique qui majore le montant initial de la rente en fonction des anticipations de performance financière attendues sur votre capital, qui sera investi par Swiss Life sur des actifs sécurisés. À noter que ce taux est règlementairement fixé à 0% pour les contrats PER.

Le montant de votre rente progressera-t-il à l’avenir ? Sachez que votre rente est revalorisable. En effet, si toutes les rentes ont la même revalorisation, les rentes avec l’option complémentaire « indexation » bénéficient en plus de la revalorisation annuelle – qui pourrait être nulle – correspondant à une indexation de 2%.

Votre conseiller Swiss Life vous donnera toutes les clés pour prendre la bonne décision au regard de votre situation personnelle.

Votre conjoint et/ou vos héritiers seront-ils privés du capital restant, à votre décès ?

Swiss Life a doté ses contrats d’une option de rente permettant d’écarter le risque que votre capital soit perdu pour votre conjoint ou un autre de vos proches à votre décès. Certes, la souscription d’une rente est définitive et le capital non consommé par les rentes qui vous auront été servies ne pourra pas être versé en une fois à vos proches. Mais vous pouvez choisir une rente réversible simple : la personne de votre choix percevra, elle aussi à vie, une rente après votre décès. À noter qu’au niveau de l’option réversion, le versement de la rente initiale se poursuit, pour un pourcentage de son montant déterminé à l’avance, au profit de la personne choisie comme réversataire.

Evidemment, cette option impacte le montant de votre rente initiale à la baisse, dans des proportions liées à l’âge du reversataire. Mais vous pouvez limiter la réversion à une partie de votre rente viagère (50 %, 60 %, 75 %...) ce qui entamera moins le montant qui vous sera versé de votre vivant. Un choix à opérer, avec l’assistance de votre conseiller Swiss Life, au regard des besoins financiers de votre reversataire.

Ainsi, opter pour une rente réversible à 100 % voire à 150 % (jusqu’à 200 %) est un outil inégalable de protection d’un conjoint disposant de très faibles revenus personnels.

Bon à savoir : dans les contrats PERE (plan d'épargne retraite d'entreprise) et PER Obligatoire dits « article 83 », en cas d’attribution d’une rente de réversion au conjoint survivant et d’existence d’ex-conjoints non remariés, la rente de réversion est partagée entre eux au prorata de la durée de chacun des mariages.

Une rente à annuités garanties est-elle plus protectrice pour vos proches ?

Cette option « rente à annuités garanties » est conseillée aux particuliers soucieux de se couvrir contre le risque lié à un décès précoce.

Prenons un exemple : Madame X souhaite une réversion de sa rente à son conjoint à hauteur de 30 % seulement, celui-ci disposant de revenus propres confortables. Dans l’hypothèse malheureuse où cette bénéficiaire décèderait rapidement après le début du versement de sa rente, son époux se verrait verser à vie 30 % du montant de sa pension initiale, soit bien moins que ce que Madame X aurait perçu au total si elle avait vécu jusqu’au terme de son espérance de vie théorique.

Le principe de la « rente à annuités garanties » ? Madame X opte pour la durée maximum de la période d’annuités garanties, qui correspond à l’espérance de vie du rentier déterminée à la date de liquidation diminuée de 5 ans.

Si elle décède pendant cette période, le montant de sa rente initiale est servi intégralement à son époux reversataire jusqu’au terme de cette phase. Au terme des annuités garanties, son conjoint percevra la rente au taux de réversion choisi à la souscription (30 % dans notre exemple) jusqu’à la fin de ses jours.

[1] Source : Altaprofits - Enquête réalisée du 8 au 10 juin 2020

[2] À noter : les droits acquis sur un PER par un adhérent au titre du compartiment 3 (versements obligatoires de l’employeur et du salarié) ne peuvent pas sortir en capital.

Article à caractère informatif et publicitaire.